Un but et un assist, mais plus inhabituel pour ce jeune « blue liner », quelques très jolies interventions défensives durant la seconde période notamment. Cela méritait d’être signalé au milieu du naufrage défensif qu’aura été ce match.

Parce que ça fait plaisir de le revoir après sa relativement longue absence. Il apparait désormais clairement lors de ces derniers matchs que les étrangers ne pourront pas toujours tout faire. Puisse-t-il, comme lors de ses meilleures années, griffer à nouveau régulièrement la feuille de match.

Qui aura sans doute été le joueur le plus en vue… sur les buts genevois. Sans cette prestation aussi hésitante dans le premier tiers notamment, les Aigles n’auraient pas pu entretenir l’illusion jusqu’en début de troisième période. Pas suffisant, mais merci quand même hein !

Qui aura encore une fois donné l’impression d’être sur un patin ce soir. Pas particulièrement une bonne idée à la base, encore moins quand il s’agit d’un joueur qui marche à l’émotion. Il personnifie bien la baisse de régime actuelle de l’équipe. Pour elle comme pour lui, il est temps de remettre un petit coup de gaz.

Complètement à la ramasse ce soir. La quasi-totalité des nombreux buts encaissés tient nettement plus de l’errement défensif que d’un quelconque brio offensif biennois. Et vu que Mayer n’a – pour une fois cette saison – pas su faire de miracle…

L’équipe aurait bien eu besoin de son capitaine ce soir. Malheureusement, ce dernier était logiquement suspendu (ainsi que lors des trois prochains matchs) pour charge à la tête. La deuxième fois cette saison déjà. Noah a su franchir un palier dans son jeu récemment, dommage que cette indiscipline vienne jeter une vilaine ombre sur son autrement très belle saison.