Résumé / Présentation
Matthew Wright, mer 20/01/2016 - 09:34

A peine remis de notre défaite qui a vu notre belle surface de glace envahie par les peluches, que 22 oursons nous rendent visite ce soir. On va finir par être sponsorisés par Haribo !

 

Trêve de sucreries : un match comme celui-là doit nous permettre de régler quelques comptes. Roooh, mince, mon ami Tristan n’est pas de la partie. Encore la peur... Ouais ça doit être ça !

 

Prendre une pénalité après moins d’une minute, ce n’est pas le départ idéal face au deuxième powerplay de la Ligue. Pourtant, notre boxplay fait merveille. Bon je m’emballe. En même temps, il n’y a franchement pas de quoi faire bander un aveugle. Jusqu’à la 10ème minute. Moment choisi par la bête noire du forum de ces derniers temps (Daniel Rubin) pour montrer qu’il savait encore marquer. Et tout seul comme un grand ! Ca a permis de libérer un peu nos joueurs. Mais quand la scoumoune s’en mêle, elle ne nous lâche pas on dirait. Après les dégagements dans les patins du match contre Langnul, c’est cette fois le patin de Capitaine Goran qui bloque un puck juste devant le but. Derek Roy remet les équipes à la même hauteur. Le match est ENFIN lancé. Pénalité non-sifflée pour nous, et dans la foulée, Matthew Lombardi rejoint le banc d’infamie sous les huées d’un public qui se réveille enfin. Mais au lieu du 1-2 que tout le monde craignait ce sont les Haribo qui se concoctent un autogoal qui permettra à Daniel Rubin d’être noté sur la feuille des pointeurs pour la deuxième fois de la soirée (Pensée pour Goran McKim). Est-ce la neige ? Ouais, ça doit être ça !

 

Je n’aurais pas voulu être dans le vestiaire des Bisounours à la pause. Car vu la manière dont ils sont rentrés dans ce deuxième tiers, ça a dû envoyer de la Kartoffel ! Pendant plus de 7 minutes, on n’a pas vu le puck. Et quand on a une paire défensive 56-47 qui allie vitesse et technique et qui accumule les shifts, on est tout content que le score n’ait pas bougé. Heureusement, la suite est bien meilleure. En rupture, on passe à deux doigts du n°3. Et c’est à ce moment que Johan Fransson nous envoie son missile sol-sol qui laisse l’autre Stepanek (pas le moche qui s’est tapé Hingis) sans réaction. Comme c’est bon, on a géré ! C’est facile. Ouais ça doit être ça !

 

Il  nous reste 20 minutes à tenir. Et les attaques grenat pleuvent en ce début de tiers. Le meilleur moyen de les maintenir loin de nos goals (Mais que fait La Palice ?). Malheureusement, ça ne veut clairement pas rentrer ce soir. Et lorsque Leuenberger prend un temps mort à 10 minutes de la fin, on se dit que ça va se rebeller du côté bernois. Mais malgré une possession du puck plus grande pour les Haribos, on gère. Bon il faut le dire vite. Ils trouvent le poteau, ils ont une supériorité numérique à 5 minutes de la fin, … On gère ! Et on s’amuse devant le but vide pour le n°4 de Damien Riat. Comme ça a été facile ! Ouais ça doit être ça !

Les bières

Johan Fransson

Tcheu s'il est solide

Damien Riat

Débauche d’énergie énorme et un but

Robert Mayer

Il a su montrer à tout le monde que l’autoroute entre ses jambières ouverte samedi passé avait vite été refermée

Kevin Romy

C’est son frère Helmut Romy qui a joué ce soir ?

Jakub Stepanek

Sans son gros match, on n’aurait pas autant stressé dans ce dernier tiers

Thomas Rüfenacht

En l’absence de Scherwey, je ne pouvais pas t’oublier