C’est dans des Vernets ein bisschen lehr que nous nous retrouvons für ce premier match de la Jahr. Aber, on s’en fout ! On est da !
La erste Teil du match est franchement aussi enthousiasmante qu’un replay d’une étape de plat au Tour de France. A part ein poteau de Spylo, rien à se mettre sous la Zahn. Heureusement, unsere TopScorer est là pour remettre les choses à leur place après un peu plus de 11 Minuten. Suite à un tir manqué (il partait clairement weit von der but) de Fredéric Iglesias, Matt D’Agostini déviait le puck zwischen die Beine de Meili. Et wir haben enfin du jeu gesehen. Le match était enfin lancé. Et Matt D’Agostini de doubler la mise un peu plus de 5 minutes später. Nicht so schwer finalement ! Vu les premières 10 Minuten, ich hatte Angst de m’endormir gehabt.
Face à ce genre d’équipe le plus dur est de prendre l’avantage. Ein mal fait, il faut gérer. Alors quelle meilleure manière de gérer un match que de scorer ? Jim Slater im Unterzahl nous donne drei longueurs d’avance. Sur le même powerplay, les Biou reviennent. Même pas Angst ! Même quand notre powerplay est hässlich et ne nous permet pas de faire la différence. Warum on se met au niveau des 11ème du classement ? A voir, ça semble énerver viele Leute autour de mich. Zum Glück, on reprend trois longueurs d’avance …… sur Powerplay …………… et par Juraj Simek ! Doit–on parler du Weinachtswunder ? Vielleicht… N’empêche que ça nous fait une marge correcte avant les letzten 20 Minuten.
Les Biennois rentrent dans ce dernier tiers comme des pompes à Feuer. Mais Marco Pedretti se charge schnell de les calmer ! Ruhe bitte ! Et c’est 5 à 1 ! Nichts zu sagen. Alors c’est schön de voir ces Spieler tout blancs essayer de se révolter, mais franchement c’est pas terroche ! Et nos Aigles se mettent au niveau pour nous offrir une fin de match des plus …. (Ndlr : même en allemand il n’y a pas de mot !).
Ein Sieg ! ça a été assez facile, mais Achtung de ne pas tomber dans la facilité. Ça aurait pu cher kosten !